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des seins par tous les saintsBonjour mes petits rongeurs,Je m’essaie une nouvelle fois à une petite histoire. J’espère qu’elle vous plaira autant que la dernière… N’hésitez pas à laisser un petit commentaire !!!Je m’appelle Lucius. Un prénom peu ordinaire pour un homme ordinaire. J’ai 42 ans, je suis avocat. Physiquement pas trop mal de ma personne même si je ne me trouve pas, à proprement parlé, beau. Mon prénom, Lucius prend son étymologie dans le latin « lux » qui signifie lumière. Mes parents, fervents catholiques, l’ont choisi pour deux raison la première je suis né avec l’aurore et donc l’arrivée de la lumière du jour et la seconde par rapport à l’apôtre Luc qui comme vous l’aurez compris est un dérivé de mon prénom.Aujourd’hui j’aurais tendance à dire qu’il m’a plus rapproché de Lucifer que de Luc et d’au moins un des sept péchés capitaux… La luxure, ce péché mortel pour mon âme mais si délectable pour mes sens. Pourtant j’ai découvert assez tard le plaisir charnel. Je devais avoir 18 ans la première fois où mes mains se sont posées sur les seins d ‘Alexia. Je n’avais, avant cela, qu’effleuré les lèvres de deux ou trois filles du pensionnat religieux où mes parents m’avait inscrit. Ce monde confiné où la peur de l’enfer guidait mes pas, mais ne m’avait pas préparé à tout ce que j’allais découvrir en m’inscrivant à la Fac. Ce fut le début d’une nouvelle vie ou de la vie tout simplement. Je rencontrais des personnes d’horizon et de culture divers. J’étais de nature curieuse et sociable ce fut assez facile pour moi d’intégrer ce nouveau monde. Pourtant les préceptes inculqués lors des cours de catéchisme était ancrés en moi et je refusais toutes les invitations aux fêtes, sorties dans les bars et autres amusement que je recevais. Au début du second semestre, mon colocataire et ami Fabien, qui jusque là avait respecté mes choix, décida d’organiser une petite fiesta chez nous… Je m’y suis d’abord opposé puis on finit par faire des compromis tous deux. Pas plus de 8 personnes, pas de cigarette ni autres substances illicites à l’intérieur de l’appartement et alcool léger type bière. J’ai facilement fait respectés à nos invités les deux premiers termes mais le dernier fut peine perdu quand je vis arriver nos potes avec whisky, vodka et malibu. Ce soir là je rencontrais Alexia. Alexia, belle jeune fille d’un an mon aînée. On discuta une bonne partie de la soirée accoudé au petit comptoir de la cuisine. Brune à la peau claire, des yeux bleus dans lesquelles je me noyais. Elle était intelligente, vive et j’admirais sa joute verbale. Elle me plaisait beaucoup mais je restais respectueux, mes convictions étaient tenaces. Elle s’amusait de mes croyances mais sans méchanceté, elle jouait avec moi comme le chat avec la souris. Après plusieurs heures de ce petit jeu, je me rendis à la salle de bain pour reprendre mes esprits et en profiter pour me vider la vessie. Voilà j’étais prêt pour le deuxième round avec mon invité. J’ouvre la porte et quel ne fut pas mon étonnement de trouver Alexia derrière. Je présume à ce moment là qu’elle attendait la place. Je bascule sur le côté pour la laisser entrer et moi pouvoir sortir mais elle me bloqua le passage. Son regard rivait au mien elle passe ses mains autour de mon visage. Je recule, elle ferme la porte d’un coup de pied et enclenche le loquet. Aucun son ne sort de ma bouche. Mon cerveau me hurle de fuir mais mon corps ne bouge pas d’un millimètre. Soudainement, la voix du père Loisot résonne alors dans mes oreilles : « Lucius, tu vas découvrir un monde où le péché aura le goût du miel et le diable l’apparence d’un ange. Les tentations seront nombreuses n’y succombent pas.»C’est à ce moment précis qu’Alexia décida de m’embrasser. Elle avait des lèvres fines mais avide de plaisir. Sa langue le goût du malibu ananas. Je vous laisse imaginer ce qu’un tel baiser était en train de déclencher en moi. Je n’avais qu’une envie la soulever et poser son cul sur la faïence du lavabo pour la prendre. Mais évidemment je n’en fis rien, je transpirais comme pour un marathon, j’étais pataud, je me demandais si j’embrassais bien et je ne bougeais pas d’un millimètre. Alexia se recula, elle me regarda avec un sourire moqueur. Ses mains descendirent de ma nuque à mes hanches. Les miennes étaient toujours le long de mon corps n’osant esquisser un mouvement. Avec ses doigts elle tira sur ma ceinture. J’étais déjà tendu comme un arc. Elle ouvrit le bouton de mon jean puis la fermeture éclair. Elle fit glisser mon pantalon et mon caleçon au sol. Je la regardais toujours dans les yeux pendant qu’à son tour elle ouvrait son chemisier et me fit l’honneur de découvrir sa poitrine. Une petite poitrine mais des tétons énormes. Elle pris mes mains pour que je la touche. Sa peau si fine, si douce … Pour la première fois je touchais une femme et pour la première fois je touchais des seins. Elle sourit de plus belle en me voyant faire. Si elle ne savait pas que j’étais puceau et totalement inexpérimenté, je ne pouvais plus le cacher. Elle m’embrassa de nouveau, puis fit güvenilir bahis glisser sa langue dans mon cou, sur mon torse. Elle forma un rond humide autour de mon nombril et continua jusqu’à mon membre dressé fièrement. Elle me décalotta tout en effleurant mon gland. C’était léger, sensuel, doux, humide, chaud et merveilleux. Pour la première fois elle parla : « savoure, la première pipe c’est toujours la meilleure mais aussi la plus courte ». Elle ironisait encore et me taquinait une fois de plus mais cela ne me perturba pas au contraire ça m’excitait encore plus… Elle léchait ma hampe de haut en bas, passait sur mes bourses et remontait vers le gland. Après plusieurs aller-retour, elle aspirait ma queue centimètre par centimètre… Je me dis : « Lucius calme toi, pense à autre chose, allez contrôle putain tu vas cracher en trois secondes !!!! » Elle dut le sentir et c’est à ce moment là qu’elle m’avala jusqu’à la garde !!! Je ne m’y attendais pas et je ne pensais même pas que c’était possible !!! Je sentis monter ma semence le long du canal, j’ai voulu lui repousser la tête mais elle me garda dans sa bouche, les yeux pleins de vices, jusqu’à ce que je gicle tout mon foutre au fond de sa gorge !!! Je poussais un cri roque au même moment, un cri d’extase. Elle avait raison ma première pipe je ne l’oublierais jamais. Alexia se releva, elle m’embrassa et en se tournant vers la porte me fit un clin d’œil et me dit simplement : « je t’offre un verre tu en as besoin on dirait ».Après cette soirée on se revit régulièrement. C’est évidemment elle qui me dépucela et me fit découvrir les prémices de la sexualité. Je dis bien les prémices car elle était délurée, volage et l’assumé totalement mais elle n’avait que 19 ans et il lui restait à elle aussi bien des choses à découvrir. Pendant les années Fac, je commençais à remettre en question non pas ma religion et mon attachement à Dieu mais plus ma façon de voir la vie. J’en étais arrivé à une conclusion : pourquoi Dieu aurait-il permis tant de délices si je ne pouvais y succomber ?Oscar Wilde avait raison : Le seul moyen de se délivrer d’une tentation, c’est d’y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu’elle s’interdit. Je cédais…Fin des études, je réussi avec brio. J’ai alors 25 ans. Je trouve rapidement un poste dans un petit cabinet qui avait pignon sur rue dans la région. Il y avait deux associés, Jeanne et Bertrand, mari et femme. Tout deux proches de la cinquantaine.Il formait un beau couple. Bertrand dégageait un charisme fou et je le regardait émerveillé espérant avoir un jour autant d’assurance. Jeanne était magnifique. Elle était de taille moyenne, des cheveux mi-long, blonde aux yeux vert. Elle était pulpeuse, certains diront grosse moi je dirais une vrai femme. Des seins toujours prêt à exploser le bouton de son chemisier et un cul qui vous donne envie de croquer dedans comme dans une pomme bien juteuse. Ma vie professionnelle commençait donc avec eux. J’ai débuté en les assistant et en préparant les dossiers à plaider au tribunal. Lui spécialisé dans le droit de la famille, des personnes et de leur patrimoine et elle en droit pénal. Assez rapidement Bertrand me donna ma chance sur quelques affaires mineures. Puis il me laissa m’occuper de nouveaux clients. Jeanne avait beaucoup plus de mal à déléguer. Elle était froide, distante même. Elle était une avocate redoutable et ses confrères la craignait devant les tribunaux. Elle ne faisait pas de cadeaux à ses rivaux et encore moins à ses rivales. Elle m’impressionnait, m’effrayait, m’attirait comme le papillon par la lumière… Un soir elle me demanda de rester un peu plus tard au bureau pour travailler sur un dossier complexe. J’avais devant moi tous les livres de droits nécessaires à nos recherches et mon ami Google pour retrouver rapidement certaines affaires et leurs jurisprudences. Vers 22h je fis un bond sur ma chaise, elle était arrivée derrière moi sans que je l’entende. Pour la première fois je l’entendis rire. Elle me dit de ne pas avoir peur qu’elle n’avait pas vu l’heure passer et me demanda ce que je souhaitais manger, elle allait commander un petit truc au chinois. Je lui répondis que c’était gentil mais… Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase qu’elle me dit que ce n’était pas une proposition ou une invitation et que si je ne lui disais pas ce que je souhaitais elle se chargerais de commander pour moi au risque que cela me déplaise. J’obtempérais …Trente minute plus tard nous étions livrés. On se mit dans la salle de repos. Elle sortit du placard une bouteille de rouge. Elle n’était pas sûre que ce soit le plus adapté pour manger avec des sushis mais nous l’avions bien mérité et puis elle n’avait que celle la.Depuis que j’ai étais embauché, nous n’avions jamais échangé plus que le nécessaire sur le travail mais ce soir Jeanne et moi discutions de tout et de rien. Tout se passe au mieux et j’arrive même à me détendre. Jeanne entame alors un questionnaire plus… privé… Est ce que j’ai une petite amie ? Est ce que je sors beaucoup ? güvenilir bahis siteleri Est ce que j’aime faire la fête ? Je lui raconte un peu ma vie de jeune reclus imposé par mes parents, lui parle de ma religion, et lui explique que je ratt**** les années perdues tout en essayant de ne pas me perdre sur les chemins de traverses. Elle se lève pour se servir un verre et remplir le mien. Elle se tient là tout près de moi. Son corsage ouvert à la limite de la décence et je ne peux m’empêcher de glisser mon regard dans ce décolleté vertigineux. Elle se redresse, retourne s’asseoir en face de moi et me lance une petite phrase cinglante « mon cher Lucius si vous pensiez avoir été discret vous vous fourvoyez ». Je rougis, évidemment que je pensais avoir été discret mais apparemment je ne pourrais mettre cela sur la liste de mes points forts. S’ensuit un silence que je n’ose briser et j’ai bien l’impression qu’elle se délecte de la situation. C’est elle qui mettra un terme à ce moment gênant de la manière la plus inattendue qui soit : « Lucius, j’ai remarqué depuis longtemps que je vous suis pas indifférente ». Tout en disant cela elle passe derrière moi en posant ses mains autour de ma nuque et collant ses seins sur mon dos. Je me fige. Est ce un rêve ou sa façon de mettre un terme à mon contrat de travail. Je ne dis mot, ne bouge pas. Je me dis que c’est le meilleur moyen de na pas dire ou faire une bêtise. Elle presse sa poitrine de plus en plus fort. Je pense au 9ème commandement : Tu ne convoiteras pas la maison ou la femme de ton prochain. Je veux bien avoir laissé sur mon chemin quelques principes mais de là à enfreindre les 10 commandements je ne suis pas prêt. Seigneur donnait moi la force de résister.J’en étais là dans mes réflexions quand elle commença à déboutonner ma chemise pour y glisser ses mains. Je lui att**** les poignées en lui disant qu’on ne pouvait pas faire ça à Bertrand. Elle revient alors face à moi, retire ses talons, remonte sa jupe en haut de ses jambes pour s’asseoir sur la table devant moi, posant un pied sur chacune de mes cuisses. Ma patronne était là, devant moi, m’offrant une superbe vue sur ses bas ourlés de dentelles blanches assortis à la dentelle de sa culotte. « Bertrand je ne fais que cela de penser à lui. Lucius il y a encore bien des choses à explorer dans ce monde. Vous n’en avez pas vu un quart encore ».« Je ne vais pas vous mentir vous êtes très désirable mais je ne veux pas perdre mon travail »« Tu ne le perdras pas ni si tu me baises, ni si tu ne le fais pas, je t’en fais la promesse mais avant de prendre ta décision j’ai une question à te poser … As-tu envie de découvrir d’autre forme de plaisir ? As-tu envie d’explorer le monde de la luxure comme tu explores tous ces bouquins de droits ? Je n’eus pas le temps de répondre qu’elle m’embrassa. Le vin avait laissé un goût fruité à ses lèvres qui n’en était que plus délectables. Je m’y abandonnais. Est ce la maturité, l’expérience ou un don inné mais cette femme me mit une trique d’enfer avec un simple baiser.Au revoir le 9ème commandement …Ce que je ne savais pas c’est que la surprise ne’ s’arrêtait pas là… Nous étions toujours en train de nous embrasser, de la table elle était descendu s’asseoir sur mes cuisses et collait ses seins à mon torse nu. Mes mains empoignant son cul charnu … C’est à ce moment précis que j’entendis du bruit et en tournant la tête et aperçu Bertrand !!!« Ce n’est pas ce que vous croyez !!!! » Mais quel crétin je suis, ma foi bien sûr que c’était exactement ce qu’il croyait … Je transpirais à grosse gouttes et me préparais à me prendre un coup de poing en pleine face. Mais il n’en fut rien. Jeanne le regarda avec ce regard rempli d’amour comme à chaque fois que leurs yeux se croisaient, il passa à côté de nous en glissant sensuellement une main sur l’épaule de sa femme et s’assit non loin. Jeanne se redressa, enleva son chemisier, fit tomber sa jupe à ses pieds et me permit de découvrir que sa culotte était en fait un body blanc en dentelle et satin. Si le paradis existait les anges devaient ressembler à cela, il ne pouvait en être autrement. J’en arrivais presque à oublier la présence de Bertrand jusqu’à ce que sa voix résonne … «Ma chérie suce le ça le mettra dans l’ambiance ». Elle se mit à genoux devant moi, libéra ma queue de son carcan, elle n’avait jamais été aussi gonflée. Elle me masturba un peu et commença à lécher juste le bout de mon gland. De petit coup de langue maîtrisé à la perfection. Je basculais la tête en arrière je devais avouer un truc avoir le mari à côté en train de regarder m’excitait grave. Je rassemblais ses cheveux entre mes mains, elle pris alors mon gland entièrement entre ses lèvres, elle l’aspirait en remontant et en descendant y mettait quelques coups de langues dont elle avait le secret. Puis elle fit glisser ma queue dans sa gorge et la bloqua au fond tout en bougeant sa langue comme si elle essayait d’avaler sa salive, le truc le plus merveilleux que je n’avais jamais connu !!!!! Elle en avait des hauts le cœur iddaa siteleri et salivait énormément. Alexia s’était trompé sur un point, la meilleure pipe de ma vie serait celle ci j’en étais sûr !!!«Alors Lucius ma femme suce bien. Tu sais c’est des années de travail pour qu’elle soit aussi bonne ».« Elle est divine »Je tournais la tête pour lui répondre et je vis qu’il avait déboutonné son pantalon et qu’il se branlait. J’avais imaginé pendant les minutes où Jeanne me tailler une pipe, qu’il était impuissant et que c’était une façon de la garder, mais pas du tout et il était même bien monté le patron !!! Je devais me rendre à l’évidence voir sa femme avec un autre l’excitait tout simplement. C’est alors qu’il se rapprocha de nous et tendit sa verge à sa femme. Elle prit la mienne dans sa main pour me branler tandis qu’elle faisait profiter son mari de son habileté linguale. Elle repassait de l une à l’autre et mit les deux en même temps dans sa bouche. Mon gland touchait celui d’un autre mec, c’était la première fois et cela me fit légèrement défaillir. Le couple pervers se moqua légèrement de moi comme si ils avaient pu lire dans mes pensées et Jeanne se releva. Bertrand lui dit de s’allonger sur la table et m’invita à goûter au nectar de sa femme. Je ne me fis pas prier. Je mis ma tête entre les cuisses de la belle et commença par glisser ma langue sur ses grandes lèvres, sur ses petites lèvres et enfin sur son clitoris. Son petit bouton n’était pas bien gros mais très réactif et cela décupla mon désir de lui faire plaisir. Bertrand était à côté de Jeanne et lui tenait la main, l’embrassait tout en continuant à se caresser. Je ne tenais plus et j’avais envie de la goûter, je glissais ma langue à l’entrée de son vagin, elle avait un goût sucrée. Son jus était délicieux et j’en voulais plus. Je retournais donc titiller son abricot. Elle haletait, gémissait. J’accélérais les mouvements de ma langue, juste la pointe je m’étais rendue compte que cela plaisait à mes partenaires, elle ondula le bassin signe que je me débrouillais bien et elle lâcha un petit cri de plaisir accompagner d’un léger jet de cyprine que j’absorbai aussitôt.Je relevais la tête heureux d’avoir fait jouir Jeanne et vit Bertrand venir vers moi. J’allais me relever et lui laisser la place quand il appuya sa main sur mon épaule pour que je ne bouge pas. Il glissa deux doigts à l’intérieur du sexe de sa femme, elle se remit aussi sec à gémir, il accélérait le mouvement, faisant de petits aller retour puis il resta à l’intérieur et accéléra à une vitesse effréné !!! Elle commençait à geindre puis à pousser de petits cris, il continuait et je reçus alors une giclée incroyable, j’en avais entendu parlait mais je pensais que c’était une légende urbaine… Une femme fontaine !!! J’étais bien mouillé, j’en avais reçu sur le visage et le torse et un truc incroyable se produisit je me remis à bander en une fraction de seconde !!!Bertrand le remarqua et dit à Jeanne de se mettre en levrette. En deux temps trois mouvements elle était à quatre pattes. Il me fit un signe de la main tout en sortant une capote de sa poche. Par ce geste il me donnait l’autorisation de la baiser. J’enfilais le plus vite possible le petit bout de plastique et j’allais me perdre dans la grotte fantastique. Lui se plaça de l’autre côté pour se faire sucer en même temps. Je trouvais cela un peu gênant, on pouvait se regardait et si sa présence était excitante, l’avoir bien en face me mettait un peu mal à l’aise. Il devait avoir l’habitude car au même moment il me dit de ne pas être gêné et au contraire d’oublier tout, juste de profiter. Et il avait tellement raison … Je fis fi du lien patronal et m’agrippa aux hanches de ma partenaire pour lui donner quelques violents coups de buttoir. Elle aimait ça, ses cris me le prouvait mais il fallait que je me calme où j’allais cracher au prochain coup de reins. Bertrand pris ma place et moi la sienne. Elle prit ma queue en bouche et dans sa chatte celle de son mari. Il y allait volontiers et je connu un nouveau plaisir. A chaque pénétration elle avalait m’avalait un peu plus. On était tous les trois en osmose c’était parfait. Bertrand me demanda si je voulais jouir en elle ou si j’apprécierais une bonne éjac faciale… Je lui dis timidement que si ça ne le dérangeait pas j’aimerais bien restait à ma place. Il sourit. Il la burina de plus en plus fort, je sentais de plus en plus mon gland taper le fond de sa gorge à chaque coup, il accéléra encore, elle arrêta les aller retour dans sa bouche et me garda aussi profondément que possible mais je sentais encore les accoues qu’elle recevait. J’entendis Bertrand râler tel un fauve et elle au même moment sa gorge se contracta. Je me retirais précipitamment pour déchargeait ma semence sur son visage. Je lui en mis partout. Elle s’étala de tour son long sur la table, je pris la première chaise à ma portée de peur de tomber tant mes jambes flagellaient et Bertrand nous servis une verre de vin à chacun.On discuta longuement. Ils m’expliquaient ce qu’ils aimaient dans les trios et ce qui les excitaient. Je buvais leur parole, je les trouvaient merveilleux.Ce fut ma première expérience à trois. Et ce ne serait pas la dernière. J’avais 25 ans et ce fut le début d’étonnantes découvertes dans le monde de la luxure.